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    Le Togo

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    Elle influence notre façon d'être @attia_salome                                                                                                                             La Lombardie appelle aux secours @Salomeattia21

     

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    État du golf de Bénin, situé sur la cote occidentale de l’Afrique, le Togo est l’un des plus petits pays de l’Afrique de l’Ouest. C'est aussi le pays où j'ai vu le jour pour la première fois de ma vie. 

    Le Togo présente la forme d’un corridor (650 km de longueur, 50 à100 km de large) enserré entre le Ghana à l’Ouest et le Bénin à l’Est, la République du Burkina-Faso au Nord. Sa superficie est estimée à 56 785 km, soit environ 1/10e de la France et deux fois la Belgique. il fait donc partie des 52 pays qui constituent l’espace francophone. Tu y seras d’autant plus à l’aise si tu es ‘’ francophile ‘’ puisque les Togolais y parlent majoritairement français.  

    Le Togo

    Le Togo est traversé en écharpe par une de montagne en direction nord-est/sud ouest : la chaine d’Atakora .De part et d’autre se situent deux plaines : la laine du Mono au sud-est et la plaine de l’Oti au nord-ouest. 

    De Lomé, la capitale où je suis née, face à l’océan jusqu’au plus profond des savanes, des routes relient les villes entre elles. Essaie le Togo. Tu vas sans doute l’aimer ! Tu le constateras de toi-même, il y a une magnifique succession de paysages :

    - mer et plages ensoleillées toute l’année,

    - lagune,

    - rivières,

    - lacs et torrents,

    - chutes jaillissantes des flancs abrupts des montagnes arborées,

    -  forêts aux essences diverses,

    - collines boisées,

    - plaines de hautes herbes,

    - savanes ombragées de baobabs millénaires,

    - parcs de réserves animaliers

    - etc. 

     

    Au Togo, il existe près d’une cinquantaine de langues correspondants aux différentes ethnies. L’éwé, que ma famille biologique savait parlait, et le kabyè sont les 2 langues les plus utilisées. L’éwé au Sud, le kabyè au Nord. Le Togo est en fait habité par plusieurs peuples de souches différentes qui présentent de fortes ressemblances linguistiques et culturelles. Mais le colonialisme ayant eu un gros impact sur le pays,  le français reste la langue officielle qui n’est pas ou très peu parlée dans les villages. L'histoire de ce pays est riche en rebondissements : découvrir

     

    Le Togo jouit également d’un climat tropical. Le pays subit effectivement l’influence de la Mousson du Sud-Ouest. Il s'agit d'un vent océanique humide qui apporte la pluie. Il est aussi touché par l’harmattan, un vent sec, mi-chaud, mi-froid qui provoque la sécheresse. De fait, la moyenne annuelle des températures est partout supérieure à 20°C. 

    À noté aussi que la population togolaise demeure la plus accueillante de toute la sous-région. Donc, un accueil chaleureux t'y attend. 

     

     

     

    En ce qui concerne sa politique, selon le Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, mon cher et tendre pays d'enfance est membre de l’Organisation des Nations unies, de l’Union africaine et de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest ainsi que de l’Organisation de la Conférence islamique. 

     

    Selon les informations recueillies par le journal Full News, le Togo enregistre environ 100 mille organisations non-gouvernementales (ONG). Depuis deux ans, l’État a effectivement recommandé à ces partenaires de définir eux-mêmes une plateforme de concertation. Une demande soldée par un échec. Voilà qui justifie la nouvelle initiative prise en main par le gouvernement. L’idée est de sillonner le pays pour la mise en place d’un cadre de concertation Etat-société civile.

    Le Togo veut répertorier les Organisations non-gouvernementales (ONG) et associations qui œuvrent sur son territoire. Une sorte de cartographie des ONG au Togo. L’initiative, laissée aux acteurs eux-mêmes il y a deux ans, n’a pas abouti. Une situation que le gouvernement veut donc corriger. Car, les autorités togolaises veulent créer un cadre de concertation Etat-ONG au Togo.

    La dynamique répond aussi à la nécessité d’amener ces acteurs à jouer un rôle déterminant dans le programme national de développement (PND). Soutenue par l’organisation internationale Aide et  Action, la démarche va amener les ONG et associations à définir ensemble les bases de ce cadre de concertation. « Il s’agit donc de faire que les actions des ONG cadrent avec le PND », soutient-on au ministère de la planification du développement. Aussi, une délégation de la présidence accompagne la tournée qui va sillonner toutes les régions du pays comme en 2017.

    Ainsi, les ONG elles, peuvent saisir l’occasion pour assainir leur milieu. Parce qu’au Togo, il existe des ONG et associations réduites à leurs propres présidents, déplore-t-on. La tournée entreprise va sensibiliser les partenaires au développement que sont les ONG et associations. Au finish, le pays disposera d’une cartographie claire et actualisée de tous ces acteurs de développement. Les ONG pourront donc être catégorisées, selon leurs domaines d’intervention et leurs résultats évalués. 

     

    Informations utiles

    Nom en forme longue : République togolaise.

    Chef de l’État : Faure Essozimna Gnassingbé (depuis le 4 mai 2005).

    Premier ministre : Selom Komi Klassou (depuis le 10 juin 2015).

    Fête nationale : 27 avril, fête de l’indépendance.

    Monnaie : franc CFA

    Langue officielle : français 

     

    Données géographiques

    Superficie : 56 785 kilomètres carrés

    Capitale : Lomé

    Villes principales : Lomé, Dapaong, Kara, Atakpamé, Sokodé

     

    Données démographiques

    Population : 7,6 millions d’habitants (Banque mondiale, 2016)

    Population rurale : 60 % (Banque mondiale, 2015), croissance annuelle : 1,8 % 

    Population urbaine : 40 % (Banque mondiale, 2015), croissance annuelle : 3,9 %

    Densité : 139.8 habitants au kilomètre carré (Banque mondiale, 2016)

    Taux de croissance démographique : 2,5% (Banque mondiale, 2016)

    Espérance de vie à la naissance : 59 ans (PNUD, 2014).

    Taux d’alphabétisation : 60 % (PNUD, 2014).

    Indice de développement humain : 0,487, 166e sur 188 (PNUD, 2016). 

     

    Données économiques

    Produit intérieur brut : 4,8 Mds$ (FMI, 2017)

    Produit intérieur brut par habitant : 611,1 $ (FMI, 2017) ; 1 511 $ en Parité Pouvoir Achat (PPA, 2017)

    Taux de croissance : 4,4 % (FMI, 2017)

    Taux d’inflation : 0,7 % en 2017, prévisions 2018 : 0,4 % (FMI 2018)

    Balance commerciale : - 766 M€ (DGT, 2017)

    Principaux clients : Burkina Faso, Bénin, Ghana (DGT, 2017)

    Principaux fournisseurs : Chine, France, Japon (DGT, 2017)

    Part des secteurs d’activité dans le produit intérieur brut : agriculture 41,3 %, industrie 16,8 %, services 41,9 % (Banque mondiale, 2017)

    Exportations de la France vers le Togo : 304,8 M€ (DGT, 2017)

    Importations françaises depuis le Togo : 15,7 M€ (DGT, 2017)

    Aide publique au développement française décaissée : 21,4 M$ (OCDE, 2016 prix constants) 

    (Tous donneurs pays CAD, pays non CAD, multilatéral, donneurs privés165 M$, dont CAD 59,2 M$, Allemagne 19,7 M$, USA 5 M$), Japon 3,3 M$) 

     

    Composition du gouvernement (1er août 2016)

    Premier ministre : Selom Komi Klassou.

    Ministre de l’économie et des finances : Sani Yaya.

    Ministre du développement à la base, de l’artisanat, de la jeunesse et de l’emploi des jeunes : Victoire Sidemeho Tomegah-Dogbe.

    Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche : Octave Nicoué Broohm.

    Ministre de la fonction publique, du travail, de l’emploi et de la réforme administrative : Gilbert Bawara.

    Ministre des postes et de l’économie numérique : Cina Lawson.

    Ministre des Infrastructures et des Transports : Ninsao Gnofam, 

    Ministre de la sécurité et de la protection civile : Col. Damehane Yark.

    Ministre des affaires étrangères, de la coopération et de l’intégration africaine : Robert Dussey.

    Ministre de l’agriculture, de l’élevage et de l’hydraulique : Col. Ouro Koura Agadazi.

    Ministre de l’administration territoriale, de la décentralisation et des collectivités locales : Payadowa Boukpessi.

    Ministre du commerce et de la promotion du secteur privé : Bernadette Essossimna Legzim-Balouki.

    Ministre de l’Industrie et du Tourisme : Yaovi Attigbé Ihou

    Ministre de l’environnement et des ressources forestières : André Johnson.

    Ministre de l’urbanisme, de l’habitat et du cadre de vie : Fiatuwo Kwadjo Sessenou.

    Ministre des enseignements primaire, secondaire et de la formation professionnelle : Komi Paalamwé Tchakpele.

    Ministre de la justice et des relations avec les institutions de la République : Pius Agbetomey.

    Ministre de la communication, de la culture, des sports et de la formation civique : Guy Madjé Lorenzo.

    Ministre de la santé et de la protection sociale : Moustafa Mijiyawa.

    Ministre des mines et de l’énergie : Dèdèriwè Abi-Bidamon.

    Ministre de l’action sociale, de la promotion de la femme et de l’alphabétisation : Tchabinandi Kolani Yentchare.

    Ministre de la planification du développement : Kossi Assimaidou.

    Ministre de l’Eau, de l’Assainissement et de l’hydraulique villageoise : Antoine Lekpa Gbegbeni (entrée au gouvernement le 27 février 2018)

    Ministre délégué auprès du ministre des enseignements primaire, secondaire, chargé de l’enseignement technique et de la formation professionnelle : Georges Kwawu Aïdam.

    Ministre auprès de la présidence de la République : Batienne Kpabre-Sylli.

    Ministre sans portefeuille auprès du Premier ministre : Elliott Ohin.

    Secrétaire d’Etat auprès du Ministre de la Justice et des Relations avec les Institutions de la République, chargée des Droits de l’Homme : Nakpa Polo

    Le ministère de la Défense et des Anciens Combattants est rattaché à la Présidence de la République. 

     

     

     

    Données consulaires

    Consulat de France au Togo : Lomé

    Communauté française au Togo : 2 573 Français inscrits au registre au 31 décembre 2017

    Consulat du Togo en France : Paris

    Communauté togolaise en France : 12 850 Togolais disposant d’un titre ou d’une autorisation de séjour valide en mars 2017

     

    Politique intérieure

    Le décès d’Étienne Gnassingbé Eyadéma en 2005 provoque une crise politique et institutionnelle, lors de laquelle l’armée confie le pouvoir à son fils Faure Essozimna Gnassingbé. Ce dernier remporte l’élection d’avril 2005, dans un contexte de violences (500 morts).

    Faure Essozimna Gnassingbé est réélu en mars 2010 avec 61 % des suffrages, contre 34 % à Jean-Pierre Fabre. Au lendemain de l’élection, l’opposant historique Gilchrist Olympio (Union des Forces de Changement) annonce avoir signé un accord politique avec le parti présidentiel impliquant une participation au gouvernement. Cette décision aboutit à la scission de l’UFC et à la création de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) par Jean-Pierre Fabre.

    Les élections législatives de juillet 2013 voient la victoire du nouveau parti présidentiel, l’Union pour la République (UNIR), qui obtient 62 députés (sur 91), contre 19 au Collectif Sauvons le Togo, qui réunit plusieurs partis dont l’ANC, et 6 à la Coalition arc-en-ciel, qui rassemble d’autres partis dont le Comité d’action pour le renouveau. L’UFC obtient 3 sièges.

    Le président Faure Gnassingbé est réélu pour un troisième mandat en avril 2015. Il obtient 59 % des voix, contre 35 % à Jean-Pierre Fabre (qui ne reconnaît pas les résultats). L’abstention s’établit à 39 %, en progression de quatre points par rapport à mars 2010.

    Le 25 janvier 2016, un décret d’application de la loi de 2013 portant statut de l’opposition a été adopté. Jean-Pierre Fabre jouit désormais du statut de Chef de file de l’opposition, l’ANC dont il est président étant le parti d’opposition qui compte le plus grand nombre de députés à l’Assemblée nationale (16).

    Le débat politique reste miné par la question des réformes institutionnelles. L’opposition réclame notamment le retour à la limitation à deux du nombre de mandats et un scrutin à deux tours. Entre les mois d’août et de décembre 2017, de grandes marches organisées dans les principales villes du pays à l’initiative du Parti National Panafricain (PNP) de Tikpi Atchadam, auquel se sont ralliés les opposants historiques, en particulier l’ANC, ont rassemblé plusieurs dizaines de milliers de manifestants. Les tensions se sont intensifiées aux mois d’octobre et de novembre et ont atteint un pic avec la mort de deux militaires dans la ville de Sokodé.

    Soumis à la plus forte mobilisation de l’opposition depuis des années, le pouvoir a lâché du lest en faisant adopter en conseil des ministres, à la veille des manifestations des 6 et 7 septembre, un projet de révision constitutionnelle. Celui-ci prévoit l’instauration d’élections présidentielles à deux tours et la limitation à deux des mandats présidentiels. Toutefois, cette limitation ne serait pas rétroactive et permettrait donc au Président Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 2005, de briguer deux quinquennats supplémentaires à l’issue de son mandat actuel (le troisième), en 2020. Le projet de réforme constitutionnelle ayant échoué à recueillir la majorité des 4/5ème au parlement, il doit être soumis à référendum, comme le prévoit la constitution togolaise. L’opposition reste ferme sur son refus d’une réforme permettant à Faure Gnassingbé de rester au pouvoir.

    Après six mois de tergiversations, un « dialogue » politique pour sortir de la crise s’est ouvert à Lomé le 19 février entre la coalition de l’opposition et l’UNIR (le parti au pouvoir) sous l’égide du Ghana agissant comme facilitateur, avec pour conséquence la libération de 45 manifestants qui avaient emprisonnés pour leur participation aux marches. Le processus de médiation entamé par le Ghana, rejoint par la Guinée, a finalement été endossé au mois d’avril par la CEDEAO. Le dernier sommet de l’organisation régionale qui s’est tenu à Lomé, le 31 juillet, a acté la prolongation du mandat des facilitateurs ghanéen et guinéen, la révision de la composition de la commission électorale (CENI), ainsi que l’accompagnement du processus électoral par des personnalités qualifiées extérieures à la crise, notamment pour les élections législatives, qui doivent avoir lieu le 20 décembre 2018 au plus tard, comme suite à la demande des autorités togolaises.

    En dépit des efforts des facilitateurs et de la Commission de la CEDEAO, la négociation bloque sur le caractère rétroactif d’une limitation du mandat présidentiel et sur la participation de l’opposition à la commission électorale en préparation des élections législatives.

    Les marches organisées par l’opposition ont repris au mois de novembre mais la mobilisation n’est plus comparable à celle de l’automne 2017. Des tensions sont à craindre à l’occasion du scrutin du 20 décembre, qui devrait avoir lieu en dépit du boycott annoncé de l’opposition.

     

     

    Situation économique et financière

    Le retour des bailleurs de fonds internationaux, à partir de 2007, a permis la relance de la croissance du PIB, avec une moyenne de 5,2% entre 2010 et 2016. Sous l’impulsion de la production agricole, des services de transport liés au commerce international et de l’impact positif de l’amélioration des infrastructures sur l’activité économique privée, les services du FMI prévoient 4,7% de croissance en 2018.

    Alors que le pays ne disposait plus d’accord avec le Fonds monétaire international depuis novembre 2011, le FMI et le Togo ont conclu le 18 janvier 2017 un accord pour la mise en place d’une Facilité Elargie de Crédit, approuvé le 5 mai 2017. Il correspond à un prêt d’environ 238 millions d’USD étalé sur 3 ans et remboursable sur 10 ans, équivalant à 120% du quota du Togo au FMI.

    Les principaux produits d’exportation sont le ciment, les phosphates et le coton. Le Togo s’affirme surtout comme une économie de transit, fondée notamment sur le port autonome de Lomé, seul port en eaux profondes du golfe de Guinée, la nouvelle aérogare, le « hub » bancaire et des projets d’interconnexion ferroviaire avec le Ghana et le Bénin. Le plan national de développement (PND), récemment adopté par le gouvernement, entend faire de Lomé un hub logistique et de services, et du Togo un pôle de développement dans le domaine agricole.

    51 % de la population vit en situation de pauvreté multidimensionnelle au sens du Programme des Nations unies pour le Développement et le Togo arrive en 166ème position au classement par l’indice de développement humain. Le Togo occupe la 156ème place du classement de la Banque Mondiale sur le climat des affaires en 2018, sur 190 pays. 

     

     

    Politique extérieure

    Le Togo cultive de bonnes relations avec ses voisins. Faure Gnassingbé multiplie les visites, notamment au Ghana et en Côte d’Ivoire. Le pays s’investit également dans les enceintes multilatérales. Faure Gnassingbé a été élu à la présidence de la CEDEAO le 4 juin 2017. Le Togo contribue à 6 opérations de maintien de la paix, principalement la MINUSMA, avec plus de 1200 hommes.

    En octobre 2016, le Togo a accueilli le Sommet extraordinaire de l’Union Africaine sur la sécurité maritime et le développement en Afrique. Cette session s’est inscrite dans le droit fil du processus de Yaoundé, afin de mettre en place une stratégie africaine de protection des mers et des océans, pour garantir paix, sécurité et stabilité, et de faire de l’espace maritime africain le levier principal d’un développement économique pérenne (« économie bleue »). Ce sommet a donné lieu à la signature de la Charte de Lomé par 31 Etats. En 2017, le Togo devait accueillir le premier Sommet Israël-Afrique et la Conférence ministérielle annuelle de la Francophonie, respectivement annulé et transféré en raison des violences qui ont endeuillés le pays en août et septembre.

    Le Togo est membre depuis 1997 de l’Organisation de la coopération islamique et a rejoint, en décembre 2015, la Coalition islamique antiterroriste emmenée par l’Arabie Saoudite. Il a par ailleurs demandé à adhérer au Commonwealth.

    Les Togolais vivant à l’étranger sont estimés à deux millions, dont 30% en Europe et en Amérique du Nord, et leurs transferts de fonds représentent environ 10% du PIB. 

     

     

     

    Relations avec l’Union européenne

    Les relations entre l’Union européenne et le Togo reposent sur l’accord de Cotonou de juin 2000, qui prévoit notamment un dialogue politique régulier.

    Le document conjoint de programmation associant l’Union européenne, la France et l’Allemagne pour la période de 2014 à 2020 appuie la stratégie de croissance accélérée et de promotion de l’emploi du gouvernement togolais selon cinq axes : le soutien aux secteurs à fort potentiel de croissance ; le renforcement des infrastructures économiques ; le développement du capital humain, de la protection sociale et de l’emploi ; le renforcement de la gouvernance ; la promotion d’un développement participatif, équilibré et durable.

    Une aide au développement de 216 millions d’euros de l’Union européenne est prévue pour la période de 2014-2020, notamment dans les secteurs de l’énergie, de l’eau et de l’assainissement, de la consolidation de l’État, de la sécurité et au profit de la société civile.

     

      

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